Le Putting
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Le putter est le club le plus utilisé au cours d’un parcours et , si le golfeur peut toujours espérer récupérer d’un drive raté avec une bonne approche, un put raté signifie toujours un coup en plus. Et combien de golfeurs ne voit-on pas qui maîtrisent bien, voir très bien, leurs bois et leurs fers et qui ont un putting désastreux !
Ces golfeurs, dont l’index est souvent des plus honorables, ne réalisent pas qu’ils pourraient passer aisément à un chiffre en se faisant assembler par un professionnel un putter sur mesure et, plus encore, en faisant régler leur putting avec ce putter.
A l’inverse, nous voyons des golfeurs dont le jeu aux bois et aux fers est très moyen, mais qui, néanmoins, ont un bon index grâce à un putting excellent. Mais le putter présente un caractère très particulier par rapport à tous les autres clubs du sac : la quasi absence de retour d’informations, de feed-back, sur les coups que l’on joue avec lui. En effet, lorsque l’on joue un driver, un bois ou un fer, les informations transmises par la frappe, puis par la trajectoire et, enfin, par le roulement, sont innombrables et très nettes : sensations, hauteur du vol, direction initiale, direction finale, durée du vol, spin, etc…
Au putting, rien de cela, ou presque. La balle va dans le trou : on est content et on se dit que l’on a bien putté, mais , en fait, on ne sait pas pourquoi elle y est allée. La balle ne va pas dans le trou : on n’est pas content, mais on ne sait pas plus, en général, pourquoi on l’a ratée. Et comment savoir, en effet, si sa frappe au putting est square, ouverte d’un degré, fermée de deux degrés, dans quelle direction va son chemin de swing, s’il est régulier, si le rythme qu’on lui imprime est constant, si l’angle d’attaque de la balle remonte, ou descend, et de combien de degrés, et si le shaft est incliné vers l’avant ou vers l’arrière, à l’impact ?
Et comment corriger son swing au putting si on n’en connaît pas les caractéristiques ? Certes, un bon pro pourra enseigner les techniques de base, mais il lui sera impossible, s’il ne dispose pas du matériel et de la formation adéquate, lui permettant de décortiquer, pour ses élèves, les plus de 20 facteurs qui conduisent à un bon putting, avec leurs moyennes et leurs écarts.
Ainsi, quels sont les golfeurs qui savent vraiment s’ils donnent du back spin (rotation vers l’arrière), ou du top spin (rotation vers l’avant) à la balle lors de l’impact, et pourquoi ?
Or le contrôle du spin à l’impact est essentiel au contrôle du roulement et donc de la distance. Quant à l’équilibre de son putter, pourtant déterminant pour parvenir à un rythme régulier, et donc à un swing répétitif,
comment s’assurer que c’est bien celui qui convient ?
Le résultat: des golfeurs qui considèrent le putting comme une fatalité, si ce n’est comme une punition et qui, après avoir acheté une demie douzaine de putters, voir plus, avec l’effet bien connu, et fréquent, de la lune de miel, d’une durée de trois jours à trois mois, se rabattent sur le «j’aime beaucoup mon putter».
Autant dire se résignent à un putting médiocre… et compensent sur un autre registre, celui de la déclaration d’amour ! Et il en va à peu près de même pour le geste au putting : n’ayant aucun moyen de savoir ce qui va ou ne va pas dans son geste, sauf défaut flagrant que pourra lui signaler son pro, le golfeur change régulièrement son geste, ce qui, on s’en doute, n’arrange pas l’affaire s’agissant d’un mouvement dont le caractère répétitif, comme celui d’une signature, est essentiel.
Ainsi, la quête du Graal se poursuit sans fin…, et dans le brouillard, pour le plus grand bonheur des marchands de rêves… et de putters.
Or, il existe une solution très efficace!!!
Celle mise au point par le Docteur Christian Marquart, neurologue et physicien allemand qui, après avoir étudié pendant plus de deux ans le putting de 130 golfeurs du Tour européen, a mis au point, non seulement le remarquable système d’analyse Sam Putt Lab, référence absolue en la matière, mais aussi la méthodologie permettant de tirer des batteries de données qu’il permet d’obtenir les règles d’élaboration du putter, et, plus encore, celle du putting efficace pour chaque golfeur.
Un horrible geste conjugué a un mauvais alignement pourront, en raison de la loi des probabilités, faire malgré tout que le la balle entre dans le trou.
A contrario, un mouvement régulier et un alignement « square » sur la cible produiront irrémédiablement, par moments, une balle à côté du trou.